AVIOLA--une famille de consuls romains ==========mai 2002
extraits du manuscrit de DOM G. VIOLE:
environ en 50 avant J.C. : AVIOLA ACILIUS , consul sous l'empereur AUGUSTE
environ 56 , sous l'empereur CLAUDE : AVIOLA ACILIUS
en 124 : un consul AVIOLA , sous l'empereur ADRIEN
Sous GORDIEN : en 241 , AVIOLA , CONSUL
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ci dessous,un texte anecdotique envoyé par SANDRA MAINNEMARE , MILAN , ITALIE :(texte en italien- traduction S.Mainnemare)
il confirme l'existence de ce consul :
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ANNO 240 d.C.
* PERICOLOSO FARE L'IMPERATORE
Dopo la strage di imperatori dello scorso anno (Massimino, Gordiano I e Gordiano II) a Roma ne erano stati eletti subito dopo altri due, uno dietro l'altro BALBINO e PUPIENO. Ma sia i pretoriani che la plebe non soddisfatti, o bene strumentalizzati da altre infide fazioni, li assassinarono quasi subito. Entrambi anche loro avevano un passato prestigioso come funzionari; erano anche uomini colti, abili, che avevano ricoperto prestigiose cariche di governatore. Eppure entrambi dopo essere arrivati all'ambita massima carica, eccoli subito nella polvere, fatti a pezzi a furore di popolo, inferocito, che scende in piazza, come al solito, sempre guidato da personaggi che indicano i loro avversari come i responsabili di tutti i mali, della discordia, del malaffare, delle ruberie, delle congiure a questo o a quell'imperatore, e a loro volta capeggiano altre congiure.
Il popolo è sempre in mano a gente senza scrupoli che li usa, li arma, e li trasforma in assassini per il "bene della patria", usando la retorica, ricordando loro i fasti e le glorie di questo o di quell'imperatore o criminalizzandone altri. Poi arriva il loro turno e cadono sotto i colpi della stessa mano che avevano appena pochi giorni prima armata. Come in questi ultimi mesi. Cinque imperatori finiti assassinati. L'ultimo, PUPIENO.
Per rimettere sul trono qualcuno, una fazione andò a riscoprire la discendenza dei Gordiani, quelli da pochi mesi uccisi in Africa, e vi scovarono un ragazzino, il figlioletto di Gordiano II. Gli diedero il titolo e la porpora che avevano appena tolto prima al nonno e al padre con una pugnalata . Lo eleggono quindi come GORDIANO III, Imperatore, Pontefice Massimo e Padre della Patria. Non badano a spese! Anche perchè di Cesari, di Traiano, di Marco Aurelio, non ce ne sono in giro. Inoltre, mettendo un ragazzino come è ormai tradizione, è possibile insediare un consilium principis di reggenza; così con le cariche di governo si accontentano molti.
A ROMA sono quindi consoli quest'anno GORDIANO III con il titolo di imperatore, e ACILIO AVIOLA suo collega console, anche se non comandano un bel nulla. Non si sa bene chi opera veramente, perchè non dimentichiamo che Gordiano è un ragazzino, e ha solo 14 anni.
A Roma ormai tanti, anche i facchini, scherzosamente indossano vestiti da imperatore, quasi prendendosi in giro da soli ed usando un atteggiamento canzonatorio se alcuni hanno il coraggio di fare pronostici. E' il gioco dell'anno, si punta sul "cavallo" vincente, oppure si scommette quanti giorni durerà l'ultimo nominato imperatore.
Senatori e influenti Nobili sembrano quasi tutti rinunciare al loro potere, alcuni sono perfino assenti, anche perchè molti credono e temono che da un momento all'altro possano essere proclamati imperatori, ma subito dopo anche essere uccisi dai fanatici di un altra fazione. Credono di rischiare la morte in ogni angolo delle strade, e soprattutto nel palazzo. Si defilano, si appartano, non si fanno vedere in giro, moltissimi gli assenti da Roma.
Traduction
AN 240 d.C.
* IL EST DANGEREUX DE FAIRE L'EMPEREUR
Après le massacre des empereurs de l'année dernière (Massimino, Gordien I et Gordien II) à Rome deux autres avaient été élus tout de suite après, un derrière l'autre, BALBINO et PUPIENO. Mais les pretoriens ainsi que la plèbe insatisfaite, ou bien manipulés par dautres factions déloyales, presque tout de suite les assassinèrent. Eux aussi avaient un passé prestigieux comme fonctionnaires; cétait également des homme cultivés, habiles, qui avaient rempli des charges prestigieuses comme gouverneur. Pourtant ces deux hommes après être arrivés à la charge désirée, les voilà tout de suite dans la poussière, faits en morceaux par la fureur de peuple, furieux, qui descend dans les rues, comme d'habitude toujours guidé par des personnages, qui indiquent leurs adversaires comme les responsables de tous les maux, de la discorde, des mauvaises affaires, des vols, des conjurations à tel ou tel empereur, et qui à leur tour, sont à la tête d'autres conjurations.
Le peuple est toujours entre les mains de personnes sans scrupules qui les utilisent, les arment, et les transforment en assassins pour le "bien de la patrie", en utilisant la rhétorique, en leur rappelant les fastes et les gloires de tel ou tel empereur ou en criminalisant dautres. Puis leur tour arrive et ils tombent sous les coups de la même main qu'ils avaient juste peu de jours avant armée. Comme lors de ces derniers mois. Cinq empereurs assassinés. Le dernier, PUPIENO.
Pour remettre quelqu'un sur le trône, une faction alla redécouvrir la descendance des Gordiens, ceux qui avait été tués depuis peu de mois en Afrique, et y dénichèrent un gamin, le fils de Gordien II. Ils lui donnèrent le titre et la robe pourpre quils venaient juste denlever au grand-père et au père avec un coup de poignard. Ils l'élisent donc comme GORDIEN III, Empereur, Pontife Supreme et Père de la Patrie. Ils ne font pas attention aux dépenses! Car des Cesars, des Trajans, des Marcs Aureliens, il y a pas aux alentours. En outre, en mettant cet enfant, comme il est de tradition désormais, il est possible d'installer un consilium principis de régence; ainsi avec les charges de gouvernement, on fait de nombreux heureux.
À ROME sont donc consuls cette année GORDIEN III avec le titre d'empereur et ACILIO AVIOLA son collègue consul, même sils ne commandent rien. On ne sait pas bien qui opère vraiment, car n'oublions pas que Gordien est un gamin, et il a seulement 14 ans.
À Rome désormais, de nombreuses personnes, même les porteurs, shabillent en empereur, presque en se moquant deux-mêmes et en adoptant une attitude railleuse si quelquun a le courage de faire des pronostics. Cest le jeu de l'année, on mise sur le "cheval" gagnant, ou bien on parie combien de jours durera le dernier empereur nommé.
Sénateurs et Nobles influents semblent renoncer presque tous à leur pouvoir, certains sont même absents,car nombreux sont ceux qui croient et craignent que dun moment à l'autre ils puissent être proclamés empereurs, mais tout de suite après être également tués par les fanatiques d'une autre faction. Ils croient risquer la mort à chaque angle de rues, et surtout dans le palais. Ils se défilent, ils s'écartent, ils ne se font pas voir aux alentours, très nombreux les absents de Rome.
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1] Valerio Massimo, prima. red., a. 1338 (fior.), l. 1 cap. 8, pag. 101.12: dove sarse il corpo dAttilio Aviola, il quale Attilio e dalli medici e da quelli di casa si credea che fosse morto. Conciofossecosa che giaciuto fosse grande ora in terra, sollevandosi, poscia che il corpo suo era abbronzato dal foco, cridò: "Io sono vivo": e chiese ajutorio dal suo maestro che ivi solo era rimaso; ma già attorneato dalle fiamme non ne poteo essere tratto vivo.
Traduction dun livre
1] Valerio Massimo, première rédaction., avant 1338 (fior.), l. 1 chapitre 8, pag. 101.12:
où brula le corps dAttilio Aviola. Les médecins et ceux de sa maison le croyaient mort . Bien quil soit resté longtemps à terre, il se releva, après que son corps soit brulé par le feu, il cria : "Je suis vivant", et il demanda de laide à son maitre qui seul était resté ; mais déjà entouré par les flammes, il ne pu être sauvé vivant.
Traduction :
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